La Tribune publiait récemment un dossier sur les enfants d'âge scolaire atteints d'un TDAH. Par la suite, le sort de ces enfants devenus adultes a été traité. Dans ces deux dossiers, la médication était abordée comme piste de solution. Aujourd'hui, une alternative à ce traitement est mise en lumière: le neurofeedback.
«Dommage qu'en 2016, avec toutes les avancées tant scientifiques que technologiques sur l'évaluation et le contrôle de l'activité cérébrale, on mette encore tellement l'accent sur la médication pour traiter les symptômes des troubles de déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité, alors que d'autres types d'intervention s'avèrent aujourd'hui tout aussi efficaces, sinon plus, et ce, sans effets secondaires et avec des résultats durables», soutient le Sherbrookois Rock Therrien, qui est président de la clinique Neuroperforma, située à Brossard.
Depuis 2012, l'Académie américaine de Pédiatrie, une organisation de 64000 pédiatres, a reconnu le neurofeedback comme un type d'intervention de niveau 1 pour le TDAH, soit un niveau d'efficacité au moins égal à la médication, mais avec les avantages d'éliminer les effets secondaires et de mener à des résultats durables.
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